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mwajdissa
14 octobre 2020

Virus, censure et dénonciation

14/10/2020

affiche

En 1945 le monde entier découvre qu'un peuple, apparemment normal, à assassiné des millions de personnes qui ne correspondaient pas à leur modèle.
Comment expliquer que des êtres humains aient pu tomber dans les filets d'un paranoïaque ?
Comment expliquer que des millions de gens ont accepté de se laisser emporter vers la mort ?
Aujourd'hui, la covid avec sa cohorte de mensonges, d'exagérations, de restrictions, d'intrusions dans la vie personnelle, de manipulations et de trucages de chiffres, d'agitation mentale et frayeurs injustifiées, nous pouvons faire le rapprochement entre Hitler suivi docilement par son peuple et nos dirigeants européens et le leur.
Un virus, bien moins mortel que ceux avec lesquels nous cohabitons depuis toujours, sert de prétexte à quelques hyper riches à l'exécution d'un plan mûrement réfléchi, dominer le monde.
Et les populations sont, une nouvelle fois, lobotomisées.
Le processus est entré dans une phase irréversible car la majorité des peuples accepteront un traitement qui tue davantage qu'il n'est sensé sauver.
En 1933 des observateurs étaient sidérés par la vitesse à laquelle une population avait basculé, comme envoûtés par une hypnose collective, dans le renoncement de la pensée propre et individuelle ainsi que la perte de discernement.
Il suffisait que Hitler se montre au balcon pour que le peuple entre en transe.
Il suffit aujourd'hui de brandir de faux chiffres pour que nos semblables entrent en transe.
La censure était partout.
Aujourd'hui, aussi. Combien de praticiens qui bravent les édits gouvernementaux ne subissent-ils pas de pression et sont voués aux gémonies ?
La censure permettait en 1940, comme elle habilite de nos jours, le contrôle des esprits.
En 1940, nombreux étaient ceux qui minimisaient le fanatisme nazi et attendaient que cela se passe.
En 2020, nombreux sont ceux qui minimisent les contradicteurs et attendent que la pandémie se passe.
Une vague promesse d'un vaccin miracle fait passer la pilule.
La peur généralisée est savamment entretenue.
En 2020, ce n'est pas un homme comme Hitler en Allemagne ou Staline en URSS qui entraîne des peuples vers l'asservissement total, mais une poignée d'hommes hyper riches qui veulent s'offrir la Terre.
Le mensonge et la censure sont partout.
Des médias, des scientifiques descendent avec une ferveur d'esclave tout ce qui contredit la thèse officielle imposée par quelques uns.
Les populations sont en état de sidération.
Comme en 1940.
Et il n'est pas irréaliste de penser que celui qui refusera le vaccin promis sera marqué. D'une étoile jaune ? Parqué dans un camp ?
La dictature qui s'établit l'empêchera à coup sûr de connaître une vie comme l'auront ses fidèles serviteurs.
Lorsque l'on considère les amendes d'aujourd'hui délivrées à ceux qui ne portent pas de masque, alors que l'état totalitaire n'en est qu'à ses balbutiements, les années à venir seront certainement très noires pour les 'récalcitrants'.
Nous glissons irréversiblement vers l'horreur.
Ce n'est pas la covid qu'il faut craindre mais la dictature.
Censure, raisonnement binaire, intimidation, corruption, stigmatisation du récalcitrant et refus de le laisser s'exprimer, Histoire revisitée, crédulité passive de la population, son incapacité à réfléchir par elle-même, tous les signes montrent la descente aux enfers.
Jamais, ni en Allemagne ni en URSS le mensonge n'à été autant maquillé en vérité incontestable.
Ayant épuisé dès l'âge de six ans toute ma réserve de confiance qu'on peut généralement placé en l'être humain, je prédis un avenir plus noir que la Terre ait jamais vécu.
Les Trente Glorieuses nous présageaient un avenir édénique.
La covid ne laissera pas place aux jours ensoleillés.
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